Dès les premières minutes, le ton du film est lancé. Les premières scènes nous en donnent plein la vue, avec des effets 3D remarquables et une qualité d’image époustouflante. Nous sommes directement plongés dans le film, nous le vivons.

Comme pour l’épisode précédent, ce film a été adapté du roman de J.K. Rowling par David Yates. Originalement titré Harry Potter and the Half-Blood Prince, c’est l’avant-dernier épisode de la saga. Harry Potter débute sa sixième année à l'école des sorciers ; une sixième année mystérieuse, pleine d’embuche et de retournement de situation. Comme d’habitude.

On retrouve bien entendu les fidèles Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson, respectivement dans la peau d’Harry Potter, de Ron Weasley et d’Hermione Granger. Sans oublier Bonnie Wright (Ginny Weasley) et Tom Felton (Drago Malefoy) qui sont plutôt convaincants dans leurs rôles. Bref, encore un excellent casting, avec des acteurs à la hauteur. On prend les même et on recommence, pas de surprise à ce niveau.

Par contre, je constate une évolution dans le ton du film. Contrairement aux premiers épisodes, il n’est plus question d’histoire légère et enfantine. Non, le film est clairement destiné à un public plus adulte, les scènes sont plus rudes, l’univers moins amusant. Heureusement, une série de petites amourettes permettent parfois faire retomber la tension. Au final, le temps passe très vite, le film est captivant.

Fidèle au livre, les scènes de combat se font plus rares, privilégiant la réflexion pour préparer la bataille finale. L’accent a également était mis sur l’hummanité des personnages, en faisant ressortir leurs forces, leurs faiblesses, mais également leurs réflexions d’adolescent. Un travail très intéressant (d’autant plus qu’il est en voie de disparition actuellement, dans le cinéma d’action).

Pour conclure, cet épisode ouvre une magnifique porte, et nous fait saliver d’avance pour le prochain épisode. Prochain épisode qui sera, rappelons-le, découpé en deux volets.

Modification [16/07 12h22] : C'est terminé, il n'est plus possible de passer une précommande en ligne pour Windows 7.

Je vous en avais déjà parlé en avant-première au détour d’un précédent billet : Microsoft souhaite se racheter une image ?. Depuis hier, Windows 7 est en préréservation en France ; au total, 76 000 licences seront vendues avec un tarif préférentiel :

• 49.99 euros au lieu de 119.99 euros pour Windows 7 édition familiale premium
• 109.99 au lieu de 285 .00euros pour la version Windows 7 édition pro

Vous pouvez consulter la liste des revendeurs à cette adresse.

Contrairement à ce que je pensais, mauvaise langue que j’étais, l’opération est un véritable succès. Déjà au Japon, les 30 000 licences proposées ont été englouties en moins de deux jours. En France, visiblement, on suit le même chemin. C’est ainsi que le site officiel subit de gros ralentissement, et de nombreuses coupures, sous la charge immense de visiteurs.

Une fois ces 76 000 licences épuisées, les moins rapides devront patienter jusqu’au 22 octobre 2009, date de sortie officielle de Windows 7. Les licences seront alors proposées au prix normal, soit 119.99 euros et 285.00 euros TTC, et ce jusqu’au 31 décembre.

Cependant, Windows 7 n’a pas l’air d’avoir vraiment la côte aux yeux des entreprises, qui ne sont visiblement pas prêtes à lâcher leur bon vieux Windows XP. Mais il y a tout de même moins de réticence qu’envers Vista. M’enfin, un jour, elles comprendront que Linux est plus mieux (troll inside).

En mai dernier, la sortie de Wolfram Alpha, un nouvel outil de recherche sur Internet, avait fait un trembler la blogosphère. Le moteur est en effet capable de comprendre les questions posées par l’utilisateur dans un langage normal, et d’y répondre directement. J’avais même listé, avec votre aide, une série de questions amusantes.

L’outil étant essentiellement intéressant pour les recherches géographiques, statistiques ou mathématiques, il est complémentaire au géant Google. Fort de ce constat, Goofram est né. Le nom ne laisse aucun doute, ce service synthétise les résultats issus de Google et Wolfram, pour vous les présenter sur une seule page.

Vous avez également la possibilité d’installer directement un plugin Firefox, pour faciliter ces recherches. Bien que simplissime sur le principe, ce moteur apporte un véritable confort d’utilisation, même si les résultats ne sont disponibles qu’en anglais pour le moment.

Naturellement doué pour la chanson, je massacrais déjà les plus grands tubes de mon ami Johnny dès mon plus jeune âge. Aujourd’hui, j’ai décidé de franchir le cap, et de tout plaquer pour la musique. Le début du succès. De toute manière, on m’adore déjà.

Vous souhaitez suivre ma trace et chanter à mes cotés ? Vous voulez devenir une star, enflammer la scène et faire hurler la foule ? Connectez-vous sur onmadore.com, un service proposé par PagesJaunes, le leader européen de la recherche locale sur Internet. La fenêtre ouverte, les basses commencent à vibrer ; l’interface est claire, les animations fluides, nous sommes plongés dans l’ambiance. Nous pouvons alors créer notre personnage de scène, avant de produire notre premier clip vidéo.

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L’affaire commence à remuer la presse, le Figaro y consacre plus d’une demi-page. En effet, les opérations « Pélican », lié directement ou indirectement aux réseaux sociaux (Facebook, Twitter…) commencent à prendre de l’ampleur.

Dernièrement, Israel Hyman, un américain fondateur d’une société de podcast, a été cambriolé. Seuls les ordinateurs et appareils liés à cette société ayant été visés, il soupçonne son tweet d’avoir renseigné les voleurs. Il annonçait en effet à ses 2000 followers son départ pour un long week-end.

Souvenez-vous. Il y a trois mois de cela, un cas similaire avait été annoncé : Mr Hyman, fidèle utilisateur de Twitter et Facebook, était persuadé que les cambrioleurs étaient des personnes mal intentionnées qui le suivaient sur ces réseaux sociaux.

D’autre part, le Figaro dénonce des opérations de cassage. Suite aux invitations postées par certains jeunes sur Facebook, ils sont parfois confrontés à des inconnus, venus uniquement pour le plaisir de tout saccager. Le tout pour le plaisir de s’afficher aux yeux de tous, et de faire circuler ces vidéos (selon Serge Tisseron, psychanalyste) :

Ce qui compte, c’est le trafic que génère une vidéo sur son site. » Pour augmenter sa visibilité, rien de tel qu’une mauvaise action. « La provocation a ses spectateurs. Or il faut être vu, peu importe pour quelle raison.

Cependant, gardons les épaules sur Terre. Accuser les réseaux sociaux est facile, le seul problème reste la confiance aveugle que certains ont, qui ne se soucie alors pas de la conséquence de leurs écrits…

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